Je m’appelle Cécile, j’ai 35 ans. Une vie rangée, une maison avec terrasse, un mec bien foutu, et une petite sœur un peu trop jolie. Je pensais avoir une vie de couple stable. J’étais loin, très loin de me douter que mon mec me baisait dans le dos… au sens propre. Et pas avec n’importe qui. Avec ma sœur Agathe.
Agathe a 28 ans, kiné, corps sculpté, fesses hautes et fermes, seins naturellement arrogants. Elle n’a jamais été pudique. Elle s’est toujours baladée à moitié nue chez mes parents, et même adulte, elle continuait à porter des nuisettes transparentes quand elle dormait chez moi. Je pensais que c’était « elle ». Spontanée. Je n’aurais jamais imaginé que Cédric se la ferait dans mon dos… jusqu’à ce que je le voie enfoncé jusqu’à la garde entre ses cuisses, en gémissant son prénom.
Le début des soupçons
Cédric, 45 ans, prof de sport, regard intense, torse dur comme du béton. En cinq ans de relation, je ne l’ai jamais vu aussi enthousiaste pour aller chez quelqu’un que depuis qu’il a commencé ses « séances » chez Agathe.
Elle l’a pris en charge après une soi-disant tendinite à l’épaule. Très vite, il a commencé à s’y rendre deux fois par semaine, parfois même le samedi matin. Je lui demandais :
— Elle te fait quoi exactement ?
— Massage, mobilisations, étirements…
Sauf que parfois, il rentrait le sexe encore tendu sous son jean, je le voyais dans ses yeux. Il ne baisait plus autant avec moi. Et surtout, quand je le suçais, son odeur me trahissait. Une odeur de cyprine qui n’était pas la mienne.
Le jour où j’ai voulu en avoir le cœur net
Un jeudi. Je le savais chez elle. Je suis partie plus tôt du travail, montée en voiture, et je suis allée jusqu’à la maison d’Agathe. Sa Clio était là. Celle de Cédric aussi. J’ai contourné par le jardin. Une de ses fenêtres de salle de soins était entrouverte, et les rideaux à moitié tirés.
J’ai eu un frisson. Je me suis approchée doucement. Et là… le choc.
La scène
Cédric était nu, debout derrière elle, la main dans ses cheveux, la queue plantée jusqu’au fond dans le cul de ma sœur. Oui, son cul. Agathe était à quatre pattes sur sa table de massage, les fesses grandes ouvertes, et elle gémissait :
— Vas-y, je suis ta pute… je veux tout ton jus, Cédric…
Je suis restée figée. Mon cœur battait comme une dingue. Ma respiration s’est coupée.
Il la tenait par la taille et la pilonnait avec une rage animale. Ses couilles claquaient contre elle à chaque coup de reins. Agathe tendait la main en arrière pour se frotter le clito, elle glissait deux doigts dedans en gémissant :
— T’as vu comme je mouille pour toi ? Je veux ton foutre dans mon cul…
Ils n’avaient aucune retenue, comme s’ils étaient seuls au monde. J’ai regardé la bite de mon mec entrer et sortir de ma sœur, luisante, gonflée. Il la giflait parfois sur les fesses, et elle en redemandait. Elle se retournait, lui suçait rapidement entre deux pénétrations, puis le faisait s’asseoir pour l’enfourcher.
Elle s’est empalée sur lui, en face de moi. Ses seins bondissaient à chaque rebond, son cul claquait sur les cuisses de Cédric. Il agrippait ses hanches, l’embrassait à pleine bouche, la léchait partout.
Et là, il l’a prévenue :
— J’vais jouir…
Et elle a murmuré, haletante :
— Vas-y, viens en moi… Je veux couler de toi toute la journée…
Elle a gémi fort, s’est cambrée, et je l’ai vue se faire remplir par mon mec, son sexe tressautant au fond d’elle, son foutre dégoulinant presque aussitôt. Elle est restée collée contre lui, haletante, pendant qu’il caressait ses cheveux comme si c’était sa femme.
Moi, derrière la fenêtre
Je tremblais. J’étais à la fois en colère, humiliée… mais aussi étrangement excité·e par ce que je venais de voir. Ce côté interdit, voyeur… Mon clitoris battait dans ma culotte.
Mais ce n’était pas un fantasme. C’était ma sœur et mon mec. En train de baiser comme deux animaux alors que moi, j’étais censée être celle qu’il aimait.
La suite ?
Je n’ai rien dit tout de suite. J’ai attendu le lendemain matin.
Je me suis levée avant lui. Et pendant qu’il dormait, nu dans notre lit, encore un peu poisseux de ce qu’il avait fait, j’ai pris son téléphone. J’ai trouvé une vidéo filmée par Agathe. Une scène de la veille. Elle, en train de le sucer à genoux, en me regardant droit dans l’objectif, avec ce sourire de petite salope sûre d’elle. J’ai trouvé également une photo prise pour lui (celle affichée sur cette page).
Je lui ai balancé le téléphone au visage.
— Dis bonjour à ta nouvelle vie. Tu dégages.
Il a tenté de nier. Pleurer. Supplier. Trop tard.
Quant à Agathe, elle a essayé de me parler. Je lui ai juste répondu :
— T’as voulu son foutre, maintenant gère ses factures et ses chaussettes sales.
Depuis, je n’ai plus aucun contact avec eux. Et tu veux savoir ? Je baise mieux depuis. Je suis plus libre. Plus perverse. Je me suis même envoyée un de mes collègues dans le vestiaire, juste pour reprendre le pouvoir.
Et la prochaine fois qu’une fille me dit « t’inquiète, c’est ton mec, pas le mien », je saurai quoi répondre.

