Une semaine en Allemagne avec ma chef… et la meilleure baise de ma vie

Laure femme mature collègue de travail
Laure femme mature collègue de travail

Je m’appelle Damien, 32 ans, je bosse comme technicien qualité dans un grand groupe automobile français. Sérieux, appliqué, toujours un peu discret au boulot. J’ai toujours essayé de rester pro, surtout avec Laure, ma responsable qualité.

Laure, 55 ans, c’est pas le genre de femme que beaucoup regardent avec envie… au premier abord. Elle est ronde, pulpeuse, toujours tirée à quatre épingles. Cheveux blonds mi-longs toujours bien brushés, rouge à lèvres impeccable, seins lourds, hanches généreuses. Pas vraiment mon « style » sur le papier. Mais elle a ce truc d’autorité et de féminité assumée qui peut réveiller n’importe quel fantasme enfoui.

On devait partir ensemble une semaine à Stuttgart pour un audit fournisseur. Juste elle et moi. Même avion, mêmes réunions, même hôtel.

Le début du jeu

Le premier soir, on dîne ensemble à l’hôtel. Elle porte un chemisier satiné noir qui moule sa poitrine, et une jupe crayon qui souligne ses fesses rebondies. Ses bas légèrement transparents et ses talons carrés donnent une touche très… « mature sexy ». Je suis perturbé. Elle commande du vin, croise les jambes lentement.

— Alors Damien… prêt à survivre cinq jours seule avec moi ?

Elle rigole doucement. Je souris, un peu gêné. Je crois qu’elle sait très bien ce qu’elle fait.

Le glissement

Les jours passent. Chaque matin, elle m’accueille à la réception en tailleur, parfumée à en perdre la tête. Et chaque soir, on boit un verre. Elle me parle d’elle, de ses anciens amants, de ses fantasmes, en riant… mais en me regardant droit dans les yeux. Son regard s’alourdit de jour en jour.

Le jeudi soir, elle m’invite à « monter prendre un digestif dans sa chambre ».

Je dis oui.

Elle enlève sa veste dès qu’on entre. Reste en chemisier entrouvert, ses seins bien visibles dans un soutien-gorge noir en dentelle. Elle s’assoit sur le lit, jambes écartées, sa jupe remontée juste assez pour laisser deviner des bas autofixants.

— Je sais ce que tu penses depuis le début, Damien… Et j’en ai autant envie que toi.

Je bande instantanément.

L’explosion

Je m’approche. Elle me prend par la cravate et m’attire à elle. Sa bouche est chaude, experte, elle m’embrasse avec une faim animale. Je glisse ma main sous sa jupe. Elle ne porte pas de culotte.

— Tu pensais que je portais tout cet attirail pour les Allemands ? C’est pour toi, depuis le départ…

Je suis à genoux devant elle. Son sexe est déjà mouillé, rasé de près, gonflé. Je commence à la lécher, elle gémit, bascule en arrière. Elle attrape ma tête à deux mains et me plaque contre sa chatte.

— Oui… continue… bouffe-moi comme un bon petit subalterne…

Sa voix est rauque, tremblante. Son ventre se tend, elle jouit fort, très fort, en se cambrant. Ses cuisses m’enserrent la tête.

Puis elle me pousse sur le lit, déboutonne ma chemise. Elle descend lentement, me regarde dans les yeux, et avale ma bite entière, sans hésitation, comme une reine du sexe. Sa bouche chaude et profonde me fait vaciller. Elle le fait avec une maîtrise… je gémis, je perds le contrôle. Elle me regarde en suçant, en se caressant entre les cuisses.

— Tu vas me baiser maintenant, Damien. Fort. Longtemps. Comme un homme.

Elle grimpe sur moi, s’empale lentement, laisse chaque centimètre de ma queue entrer en elle. Son ventre frotte contre le mien, ses seins rebondissent à chaque mouvement. Je lui agrippe les hanches, elle ondule, se cabre, gémit comme une chienne en chaleur.

On change de positions : elle à quatre pattes sur le lit, ses fesses larges offertes. J’y vais franchement. Chaque claque fait trembler sa peau. Elle hurle presque, me supplie de la remplir.

Je jouis en elle, profondément, fort, comme jamais je n’ai joui avec une femme.

Et elle… elle se retourne, me caresse tendrement.

— Voilà. Maintenant, tu es à moi. Pour toute la semaine. Et peut-être plus si affinités.

L’après

On a remis ça le lendemain matin, puis dans la douche, puis dans les toilettes du salon d’aéroport… Cette femme m’a vidé jusqu’à la dernière goutte. Elle m’a dominé, caressé, retourné. J’ai baisé avec elle comme jamais dans ma vie. J’ai compris que le corps d’une femme de 55 ans, quand il est assumé et désiré, peut être un vrai terrain de jeu pour des nuits sans fin.

Depuis ? On continue… discrètement. Et à chaque réunion qualité, je me demande si je vais ressortir avec des traces de rouge à lèvres sur les couilles.

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